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KHALTI FATNA
24 août 2012

Abderrahmane Zenati: MOURIR D'AMOUR ... le temps qui passe et s’enfuit

Dans le temps qui passe et s’enfuit
Rien ne dure, tout se détruit.

C'était un amour comme un songe souriant
Un amour clairvoyant et insouciant
Un amour enviable  qui habitait dans nos coeurs et enjoliver notre monde
Un amour qui est resté dans nos pensées profondes.

 

Photo 367

C'était un rêve innocent
Une étoile qui souriait au firmament
C'était un amour comme un poème écrit par un artiste bohème
C'était un parfum fleuri de « Je t'aime »

Photo 423

 

Toi qui fut autrefois ma femme,
Je te regarde aujourd'hui comme on regarde une flamme
Qui s'éteint peu à peu sur mon passé, mon présent et mon avenir...
Dans ces montagnes lointains où je traine ma nostalgie et ma solitude, je ferme les yeux et je vis dans mes popres réves..

IMAG0013

 

Dans le temps qui passe et s’enfuit
Regardes ce que tu as fait de ma vie,
Oui,  rien ne dure et tout se détruit
Jusqu’à l’amour que l’on a et que l’on oublie.

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Commentaires
KHALTI FATNA
  • Un roman émouvant ponctué d'amitiés, d'amours et de guerres... On s'imprègne du narrateur et on avance dans l'histoire avec lui, on passe du rire aux larmes, de l'espoir aux regrets, de la vie à la mort. Les décors changent tout au long du roman, on passe
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